Compte-rendu avec photos de l’hommage à Sainte Jeanne d’Arc
Dimanche 8 mai, fête de Sainte Jeanne d’Arc, le Renouveau français a foulé le pavé parisien au long de la journée, pour rendre hommage à la patronne de notre pays et se placer sous son égide.
Le matin, le RF défilait sous ses drapeaux et dans un bel ordre jusqu’à la place des Pyramides. De nombreux militants de bonne allure, en grande partie jeunes et au premier rang desquels des familles avec poussettes, ont fait belle impression.
Les premiers militants se rassemblant place de la Madeleine.
Autres photos en bas d’article.
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Après avoir déposé une gerbe au pied de la statue de l’héroïne nationale, les militants eurent droit à un discours revigorant de Sylvain Maubranches, rappelant que Jeanne d’Arc nous délivrait un message d’espoir, non seulement politique mais spirituel.
Puis ils se retrouvèrent dans notre local parisien pour partager un repas fait maison, dans une ambiance de camaraderie, avant de repartir sans tarder pour le défilé de l’après-midi, organisé par l’institut Civitas.
Rassemblant plusieurs milliers de personnes (photos ici), le cortège aboutit à la même statue, où, entre autres responsables, Thibaut de Chassey déposa une gerbe de fleurs au nom du RF, avant que des discours combatifs ne fussent tenus par un prêtre et Alain Escada.
Enfin, le soir, un dîner réunit quelques centaines de personnes, faisant suite à l’hommage de l’après-midi. Thibaut de Chassey y prit brièvement la parole pour mettre en parallèle les situations de notre pays au temps de Jeanne et à l’époque actuelle, soulignant les différences et nouveaux défis qui ne doivent pas nous échapper. Il rappela aussi que la geste de la sainte de la patrie était un tout cohérent : on ne doit pas, comme on l’a souvent vu, utiliser une partie de son message, en étant en opposition avec le reste.
En effet, la jeune bergère illettrée a non seulement mené victorieusement une lutte de libération nationale et d’expulsion des envahisseurs, mais aussi restauré l’ordre politique, rétabli l’autorité légitime et bien sûr rappelé le primat du spirituel, défendu le règne du Christ sur la France par son lieutenant. Ainsi, si l’on ose s’adresser aux mânes de la sainte et revendiquer son patronage, il faut le faire de façon cohérente, sans mutiler ni travestir son héritage.
Le président du RF souligna que sainte Jeanne d’Arc n’était, c’est le moins qu’on puisse dire, pas une républicaine. Elle était de même le contraire d’une laïciste. Son exemple est plus que jamais d’actualité et son intercession plus que jamais nécessaire. Méditons le premier et méritons la seconde.
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