28/10/2011

Pèlerinage annuel du Renouveau Français

Depuis la fondation du Renouveau français, se tient chaque année un pèlerinage dans une belle région de France. Il est destiné à nos militants catholiques (et même aux autres !) qui désirent attirer la bénédiction du Ciel sur leur combat nationaliste.
L'occasion aussi de se retrouver entre camarades dans une ambiance chaleureuse, d'adjoindre une vision spirituelle à notre action politique, de découvrir nos belles régions, de se couper du monde, de se faire violence et de se sanctifier.
Cette année, le pèlerinage se déroulera les 5 et 6 novembre 2011 en Bourgogne.

24/10/2011

Affaire Castellucci - Soutien aux militants

Des catholiques, réagissant aux provocations christianophobes du spectacle "Sur le concept du visage du fils de Dieu", ont été conduits en garde en vue, certains y étant toujours à l'heure de rédaction de ce message, soit 48 heures au total.
Le maire de la ville et le directeur du théâtre ont porté plainte.

Le tort de ces jeunes catholiques ? Avoir perturbé une représentation de ce spectacle blasphématoire en montant sur scène pour réciter le chapelet.

Ils ont besoin d'un soutien financier pour payer leurs frais d'avocats et pour utiliser tous les recours pour éviter la prison.

SoutienAuxMilitants.com

22/10/2011

[RF Paris] Concernant l'action contre la pièce de théâtre antichrétienne

Cliquez iciCommuniqué du Renouveau français suite à l'action menée par des militants contre une pièce de théâtre outrageusement christophobe.
Au-dessous, vous trouverez une vidéo de cette opération.



[Communiqué] Jeudi 20 octobre avait lieu au Théâtre de la ville, la première représentation à Paris de la pièce « Sur le concept du visage du fils de Dieu ».
L’auteur de la pièce, Roméo Castellucci, y met en scène un vieillard déféquant sur scène et son fils venant le nettoyer, avec pour arrière-plan le portrait du Christ. Les excréments récoltés par le fils étant destinés à être lancés par des enfants sur le portrait du Christ à la fin de la pièce.

La haine antichrétienne se montre ici sous son aspect le plus primaire et le plus immonde, comme avec l'affaire du « Piss Christ » à Avignon où cette fois-ci, il était question de représenter le Christ dans de l’urine.
Pour l’auteur, interrogé lors du festival d’Avignon, il ne s’agit pas d’une œuvre christianophobe mais « d’une pièce faisant appel à l’intelligence et la sensibilité de chacun des spectateurs.
A la fin du spectacle, un voile noir d’excréments coule sur le portrait du fils de Dieu : Dieu se retire dans le brouillard du fond de la scène, depuis lequel il avait fait son apparition »
Aurait-il osé s'en prendre de la même façon à l'islam ou au judaïsme ? Certainement pas.
Dès septembre, les recours légaux avaient été utilisés pour faire interdire ce spectacle scandaleux... Sans succès.
 
En France, nation façonnée par le Christianisme, il est toléré de s'en prendre à cette religion de toutes les façons possibles ; c'est même encouragé par les autorités, puisque le spectacle en question a bénéficié de subventions publiques...
Mais la réaction s'est organisée.
Les militants du Renouveau français ont eu l'honneur d'inaugurer la chaîne de protestation contre ces blasphèmes !

C'est ainsi que les spectateurs outrés (et plus encore les responsables du théâtre) ont eu la mauvaise surprise de voir leur représentation interrompue durant plus d’une demi heure. 
Face aux 400 bobos venus se délecter de pseudo « art » scatologique, les militants du Renouveau français sont montés sur la scène aux cris de « Christianohobie, ça suffit ! »

Avec ce slogan, parfaitement visible sur la banderole qui fut déployée, tous devraient avoir saisi la raison de notre action, mais surtout, avoir compris que les défenseurs de la Chrétienté ne tolèreront désormais plus que l'on s'en prenne ainsi à la religion, colonne vertébrale de notre civilisation. 
Après une dizaine de minutes plutôt animées, nos militants ont entamé le chapelet d'abord face aux spectateurs en guise de réponse à leurs insultes, puis face à la sainte image du Christ, désarçonnant ainsi la sécurité des lieux, avant d'être finalement délogés par la police.

Ils s'en sont tirés avec près de vingt-quatre heures de garde-à-vue : une répression ahurissante et scandaleuse alors qu'aucune violence n'avait été commise.
Le Comité directeur du Renouveau français félicite la dizaine de jeunes militants qui se sont illustrés ce jeudi et sait qu'ils feront des émules, au service de la dignité, de notre civilisation et de la chrétienté.

Il invite les Français las du climat actuel à le rejoindre, ou du moins le soutenir, et à travers lui soutenir les jeunes Français qui ont sauvé l'honneur ce jeudi.


Source: Le site national du Renouveau Français.


07/10/2011

RF versus Judith Butler: au tour du Figaro d'en parler !

Le journal officiel du pouvoir en place évoque très brièvement notre dernière intervention dans un article intitulé: "La polémique sur la «théorie du genre» rebondit".


Judith Butler, philosophe américaine célèbre pour avoir théorisé le «gender», a reçu mercredi soir les insignes de docteur Honoris Causa à l'université Bordeaux-III où elle a été conspuée par des activistes.

La polémique sur la théorie du «gender» n'en finit plus. A l'issue d'un colloque international consacré à l'œuvre de Judith Butler, philosophe américaine célèbre pour avoir théorisé le «gender», a reçu mercredi soir les insignes de docteur Honoris Causa à l'université Bordeaux-III (Michel-de-Montaigne), et a été conspuée par quelques activistes à l'issue de la cérémonie, selon le journal Sud-Ouest. [...]

Source

[Rivarol] Entretien avec notre directeur, Thibaut de Chassey

Retrouvez ci-dessous l'essentiel du long et dense entretien que Thibaut de Chassey, directeur du RF, a accordé à l'hebdomadaire Rivarol (n°3012, du 9 septembre 2011).

Quels sont les objectifs du Renouveau français et ses actions ?

L’activité du RF se partage entre formation et action.
Naturellement, la première est un préalable et un compagnon indispensables à toute action fructueuse. Au vu de la confusion intellectuelle que connaissent la France ainsi que parfois la « mouvance nationale », nous faisons d’importants efforts de formation tant au niveau des principes que de l’analyse politique. En ligne de mire : la création de cadres et de militants nationalistes bien formés sur les plans politique, éthique et humain.
Cette nouvelle génération de militants arrive et, avec le renfort des plus anciens qui nous ont rejoints et continuent de nous rejoindre, c’est un vrai motif d’espoir pour notre combat.

Côté « action », les activités militantes classiques côtoient l’utilisation des « nouvelles technologies » afin de faire connaître aux Français nos idées et analyses, de proposer un engagement concret à ceux qui veulent agir et ne plus subir, et enfin de défendre pied-à-pied ou reconquérir ce qui doit l’être par le biais de mobilisations efficaces.
Ajoutons que nous travaillons activement à mettre en place un réseau - pour ne pas dire une communauté - de Français partageant une même vision du monde et les mêmes aspirations. Aujourd’hui l’entraide en différents domaines, le soutien mutuel face à un Système hostile. Demain peut-être, des patriotes se serrant les coudes victorieusement dans des temps particulièrement difficiles.

Structuration, développement du mouvement nationaliste d’une part, préparation d’un état d’esprit favorable parmi la plus large partie possible de la population française d’autre part : telles sont les deux mamelles de la révolution dont la France a besoin.

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre doctrine ?

Nous sommes tenants du réalisme, à tous les niveaux : nous voyons le monde tel qu'il est. D'où notre opposition irréductible aux élucubrations idéologiques telles que la conception multiraciale de la nation, ou encore la théorie dite du « gender ».

Notre nationalisme français (défense du bien commun national) est classique et sans concession, d’inspiration contre-révolutionnaire et catholique. Ces précisions lexicales sont utiles, du fait de la regrettable polysémie actuelle du terme « nationalisme ».
Un nationalisme conséquent ne saurait ainsi être compatible avec le républicanisme, la démocratie moderne, le libéralisme philosophique, le subjectivisme, les conceptions désincarnées de la nationalité, etc., ni faire l’impasse sur les questions de civilisation, de normes morales ou de référence spirituelle.

Concrètement, outre la nécessaire conquête de l’Etat, le combat nationaliste doit s’articuler aujourd’hui autour de quelques grand thèmes incontournables. Permettez-moi de les énumérer.

- Face à l’euro-mondialisme, le recouvrement de notre indépendance nationale, pour que les Français soient maîtres chez eux et que leur auguste nation ne soit plus une province de l’Union européenne ni une zone administrative du Gouvernement mondial ;
- Face à la décadence, la restauration de notre civilisation traditionnelle, franco-chrétienne, certes parfois exigeante mais correspondant finalement à notre nature humaine, loin des pseudo-modèles de bonheur modernes soutenus à coups d’antidépresseurs ;
- Face à l’exploitation, aux ravages et la domination de la Finance, l’instauration d’un ordre social et économique juste, au service du bien commun.
- Face aux impérialismes culturels et à l’invasion migratoire, la défense intransigeante de notre identité, notamment sur le plan ethnique.
N’oublions pas non plus, face au saccage de nos paysages, aux pollutions mortifères et à la bétonisation de notre Sol, d’opposer une saine écologie, qui soulignera d’ailleurs la nécessité de préserver la biodiversité, y compris humaine…

Avec la victoire de Marine Le Pen en janvier dernier, le camp national se trouve face à une configuration nouvelle. Ne peut-on craindre un émiettement et une division durable au sein de notre famille de pensée ? 

Nous assistons aujourd’hui à une nouvelle phase du processus de décomposition-recomposition de la « droite nationale », dont l’émiettement est une conséquence logique et, je l’espère, temporaire.
En termes d’effectifs, de cadres, de biens immobiliers, de réseaux humains et sociaux, de contre-pouvoirs locaux, culturels, médiatiques ou professionnels, et surtout d'évolutions idéologiques (qui sont généralement autant de régressions), la situation du camp « patriote » en général est bien piteuse, et appelle à une auto-critique sans concession.

En tant que nationalistes, nous repartons à zéro ou presque.
Voyons les choses du bon côté : ce peut être l’occasion pour notre mouvance de redémarrer sur des bases doctrinales et morales saines, solides.

Comment vous situez-vous dans le débat qui agite notre camp sur l'éventuelle sortie de la France de l'Union européenne et/ou de l'euro ?

Il serait incohérent de se dire nationaliste et d’envisager de rester dans l’UE comme dans l’euro.
La première nous a clairement asservis (rappelons que 80% des lois françaises viennent de ce monstre bureaucratique) et le second nous prive logiquement de toute politique monétaire propre, limitant grandement notre marge de manœuvre économique.
Peut-on aimer sa nation et supporter de la voir privée de liberté ? Peut-on y être attaché et accepter qu’elle soit dépourvue d’un symbole aussi élémentaire que sa monnaie ?
Ces simples considérations devraient à mon avis primer sur les perspectives économiques, qui importent aujourd’hui par-dessus tout à beaucoup de nos concitoyens, pris qu’ils sont dans la glue matérialiste ou effrayés par les perspectives de misère dont nous gratifie la République.
Ceci dit, je suis convaincu que la France a les moyens, aujourd’hui et si elle est correctement gouvernée, d’offrir sans les structures européistes une vie matérielle décente à l’ensemble de ses ressortissants.

A l’inverse de ce que nous serinent les médias, l’euro et l’UE sont facteurs de chômage et d’appauvrissement. Ils ont déjà fait beaucoup de dégâts économiques et sociaux, et ce n’est pas terminé.

Votre mouvement est parfois accusé d'être confessionnel et bourgeois. Que répondez-vous à ces critiques ? Sont-elles partiellement fondées ?

Je crains que ces critiques (assez rares toutefois) soient fondées… sur des sentiments mesquins !
Nous ne donnons pas dans la guerre des classes, selon nous incompatible avec le nationalisme.
S'il y a bien sûr des tendances localement variables, la composition sociale de nos effectifs est d’une grande diversité, et tous se fréquentent dans une excellente harmonie, unis par une même cause.
En revanche, la mentalité néfaste qu’on appelle « esprit bourgeois » s’accorde mal avec un militantisme nationaliste comme celui que nous menons et c’est pourquoi nous n’avons pas à la déplorer dans nos rangs.

Par ailleurs, nous ne sommes pas plus confessionnels que ne le furent presque toutes les Cités, et en particulier la nôtre, jusqu'à la funeste Révolution française.
Nous ne sommes pas un mouvement religieux, mais un mouvement politique, à but politique.
Cela étant posé, quand on veut creuser un peu la réflexion politique et ne pas se contenter de combats sectoriels (ce que certains devraient essayer), on en arrive à des questions d’ordre supérieur : qui est l’homme ? Quelle est sa finalité ? De quoi a-t-il besoin ? Quel est le but précis de l’Etat ? Les lois doivent-elles être en lien avec une morale ? Si oui, laquelle ?
Le président Salazar le disait pertinemment : « la politique est une philosophie en action ».
Nous faisons donc le choix de la philosophie classique, de la civilisation chrétienne, de la morale naturelle et catholique.
Etant donné le caractère essentiel et fondateur du catholicisme dans notre « roman national », il serait d’ailleurs saugrenu de nous reprocher cette référence.
Cela dit, on ne trouve pas chez nous que des catholiques même s’ils sont majoritaires (et parmi ces derniers le panel de « sensibilités » est relativement varié). Nous demandons simplement de ceux qui veulent nous rejoindre, un regard bienveillant sur la religion catholique, dans sa version traditionnelle bien sûr. Question de cohérence et de cohésion.
Nous avons bien conscience que le peuple n’est plus catholique actuellement, hormis une très petite minorité (trop souvent rétive à l’engagement politique). Or, nous nous adressons au peuple…

Comment voyez-vous l’avenir du camp national ?

Son état actuel, outre les problèmes de stratégie, s’explique plus profondément par nos lacunes et faiblesses.
La paresse intellectuelle, le dédain pour les idées, pour la doctrine, pour la cohérence (parfois coûteuse il est vrai), le relativisme moral ont, il faut bien le reconnaître, largement régné. 
Et cette domination ne semble pas s’effriter, au contraire.

Finalement, ce sont les erreurs fondamentales de la Modernité qui ont contaminé ceux qui devraient la combattre : subjectivisme, relativisme, idéalisme, individualisme...
Partant de ces constats, on comprend que le remède consiste à prendre le contre-pied de ce qui a été fait en ces domaines.
Nous devons revenir aux idées et mener un combat pour elles d’abord, remontant aux sources, sans peur de la vérité et laissant de côté un chimérique « métissage doctrinal » qui voudrait conjuguer sur un mode hégélien le blanc et le noir, le oui et le non.
Il faut s’efforcer de pratiquer l’effort intellectuel, se former humblement, apprendre des vrais maîtres, identifier les principes sains et immuables et ne jamais les renier. Garder en tête les priorités et ce sur quoi on ne peut transiger.
Il importe de remettre à l’honneur le débat d’idées (que fuient d’ailleurs les politiciens), la prédication et la discussion.
Quitte à me répéter, il convient de subordonner les activités politiques à une doctrine fiable et ferme, sans bien sûr pour autant sombrer dans l’idéologie, le sectarisme, l’intellectualisme ou le refus des combats concrets et salissants…

Un outil comme Rivarol a donc bien sûr un rôle important à jouer dans le renouveau du camp national. Je ne doute pas qu’il le remplira efficacement sous la houlette de son directeur.
Je me réjouis du mépris de ce journal pour les modes, j’apprécie sa liberté de ton, encore étendue ces mois-ci, je le félicite de sa ténacité sexagénaire et suis admiratif de sa capacité d’indignation restée intacte.


Un mot de conclusion ?

Malgré les progrès des plans de nos ennemis, des signes d’espoir se font jour çà et là, et les circonstances ont, paradoxalement, rarement été si favorables à nos idées. 

Le Système est un colosse aux pieds d’argile, ne progressant que par nos reculades, maniant la carotte (jeux, hédonisme, promesses matérialistes) et le bâton (flicage et répression) pour se maintenir en place. Mais il paiera le prix de son mépris des lois naturelles autant que du bon sens. Il est probablement déjà à la merci de graves événements d’ordres financier, économique, sécuritaire, ethnique ou encore écologique...
Il vacillera bientôt ; la carotte aura moisi et la main sera trop molle pour manier le bâton.
La majorité de nos compatriotes semblent comme plongés en léthargie, le crâne bourré à en exploser ou alors se sont laissés acheter, quand ils ne sont pas tout simplement trop lâches.
Mais les mentalités peuvent évoluer très vite devant la violence des faits, comme l’a maintes fois prouvé notre histoire.

Si Dieu le veut, les nationalistes, pour peu qu’ils soient organisés et déterminés, auront alors leur chance.
Mais avant de pouvoir appliquer à notre pays la grande révolution politique, sociale, économique et spirituelle dont il a besoin, il nous faut mener une profonde réforme intellectuelle et morale de notre propre camp, celui des patriotes.

C’est bien le moment de nous consacrer à cette tâche avec détermination, sérieux, foi et générosité !

Source: Site national du Renouveau Français

06/10/2011

Vidéo de l'intervention du 5 Octobre

 
Retrouvez la vidéo sur Youtube ici : http://www.youtube.com/watch?v=vcrxjSvbLPM

Décidemment, Judith Butler n'est pas de notre genre...

 Dernière répétition avant le passage à l'action...


Ce mercredi 5 octobre 2011 était présente à Bordeaux la tristement célèbre Judith Butler, féministe acharnée notamment connue pour sa "théorie du genre", maintenant introduite dans les programmes scolaires français.

Cette annonce avait suscité en France de vives protestations de la part de professeurs, de parents d'élèves, ou encore de nombreux élus français, soulevant une polémique qui n'est aujourd'hui pas encore calmée. L'invitation de M. Patrice Brun, président de Bordeaux 3, afin de remettre à ce triste personnage les insignes de docteur honoris causa, portait donc de façon évidente un message politique fort, et appelait de toute évidence à une réaction de la part des jeunes bordelais sains d'esprit.

C'est donc une quinzaine de militants de la section bordelaise du Renouveau Français qui se sont présentés à l'université Montaigne Bordeaux 3, afin d'accueillir comme il se devait cette prétendue philosophe.

Après de longs discours bien-pensants et anti-français de la part de ces universitaires totalement déconnectés de la réalité et de la vie quotidienne, au moment où M. Brun s'apprêtait à remettre les insignes à madame (ou monsieur ?) Butler, les jeunes nationalistes sont sortis de leur silence pour conspuer cette mascarade en brandissant des pancartes où l'on pouvait lire par exemple "Je veux devenir un dauphin, je peux ?", avec des déguisements sortis tout droit d'une "gay pride".



 Après une longue attente, Mme Butler reçoit enfin notre hommage


La surprise pouvait se lire sur les visages des organisateurs confortablement installés, et la cérémonie fut ainsi retardée jusqu'au départ des militants, après de longues minutes de belle cohue !

Le Renouveau Français tient ainsi à redire pour ceux qui ne l'auraient pas encore compris, que nous ne regarderons pas notre pays tomber en décadence sans broncher, et que nous serons toujours sur le terrain pour défendre la France face aux idéologues bobos immondes qui veulent nous détruire toujours plus ! Nous appelons plus que jamais les Français à la plus grande vigilance face à cette volonté de nos élites de nous emmener toujours plus au fond du gouffre, en s'attaquant maintenant à notre identité biologique !

N'oubliez pas que le Renouveau Français recrute ! Pour plus d'informations, et pour participer à nos futures actions, contactez-nous sur bordeaux@renouveaufrancais.com

Article du journal Sud Ouest sur notre action contre la théorie du genre

Le quotidien régional Sud Ouest consacre lui aussi un article à la venue de Judith Butler et y mentionne notre intervention afin de dénoncer la théorie du genre et le message malsain qu'elle véhicule!

Judith Butler honorée

L’américaine, figure du féminisme, a été célébrée hier à la fac Bordeaux 3.

 Judith Butler félicité par Patrice Brun, président de Bordeaux 3, et Fabienne Brugère  photo F.Cottereau

Judith Butler félicité par Patrice Brun, président de Bordeaux 3, et Fabienne Brugère photo F.Cottereau

S'il fallait la preuve que Judith Butler ne fait pas l'unanimité, elle est venue à la fin de la leçon que cette grande dame de la philosophie a donnée à l'université Bordeaux 3 hier soir. Alors que l'Américaine recevait les vivats du vaste amphi 700 copieusement rempli en cette occasion exceptionnelle, une poignée de militants du « Renouveau français », déguisés et agitant des pancartes, ont conspué celle qu'ils tiennent pour « le contraire d'une philosophe ». 

Ces adeptes du nationalisme intégral voient en Judith Butler, auteur du fameux ouvrage « Le Trouble dans le genre » (1990, traduit en 2005 en français) et figure du féminisme américain, la porte-voix d'une pensée qui, dissociant l'identité sexuelle biologique du genre (masculin ou féminin) et insistant sur la construction sociale et culturelle de l'identité sexuelle, « s'éloigne de la réalité et détruit nos identités ». Les nationalistes et les catholiques intégristes avaient donc coché de rouge sa venue à Bordeaux qui résonne aussi avec la polémique sur l'introduction dans les programmes de SVT de Première d'un chapitre sur le thème « devenir homme ou femme ». 

Le RF Bordeaux en première ligne contre la théorie du genre !

Le site d'information Infos-Bordeaux évoque (en omettant de citer le nom de notre organisation...) notre dernière action contre la remise du diplôme de docteur Honoris Causa par la faculté de Bordeaux III à la très contestable "philosophe" américaine, Judith Butler, chef de file de la théorie du genre. Encore une fois le Renouveau Français était sur le terrain pour s'opposer activement et bruyamment à la diffusion et à la banalisation de cette idéologie contre-nature et destructrice!

Des étudiants s’opposent à la remise de diplôme de Judith Butler

Des étudiants s’opposent à la remise de diplôme de Judith Butler

Hier soir avait lieu à la faculté de Bordeaux III, la remise des insignes docteur Honoris Causa à la très polémique philosophe américaine, Judith Butler. Cette distinction délivrée par Patrice Brun, président de la faculté, est une preuve de plus de la complaisance de l’université française pour la théorie du Genre.

Féministe homosexuelle, celle-ci a élaboré une théorie sur le genre à partir des années 70 et  son livre « Trouble dans le genre. Pour un féminisme de la subversion »  (publié en France en 2005). La diffusion de cette idéologie subversive  au sein des lycées et des universités fait l’objet d’une réaction sans précédent de la part des parents d’élèves  et de près de 200 parlementaires (les personnes ne seraient plus définies comme hommes et femmes, mais comme pratiquants de certaines formes de sexualités : homosexuels, hétérosexuels, bisexuels, transsexuel !).

Hier, une dizaine d’étudiants bordelais ont donc tenu à manifester leur désapprobation en lançant des slogans hostiles à Judith Butler et en agitant des pancartes.


01/10/2011

Compte-rendu du camp d'été 2011

C’est dans le même cadre prestigieux que les autres éditions que se sont déroulées en août dernier les journées de formation d’été du Renouveau français. (Journées auxquelles participa une délégation de militants du RF Bordeaux, ndlr).

Cette année, l’organisation tenait à élever encore le niveau intellectuel et pratique des activités proposées aux quelques 80 jeunes militants présents.
  

Grande nouveauté en la matière, l’instauration d’ateliers nombreux et variés, dont l’interactivité a permis aux novices en doctrine comme en militantisme d’en appréhender les différents aspects, en petits groupes.

Pris en main par des anciens du mouvement, ces ateliers développaient des thèmes comme la rédaction de tracts ou de communiqués de presse, la confection d’une banderole, la conduite à tenir au sein d’un service d’ordre ou encore la participation à un site de réinformation.

Le sens concret du militant politique ne devant pas occulter la nécessaire formation doctrinale, des conférences sur le nationalisme étaient destinées aux nouveaux.
De plus, chaque journée a vu intervenir différents conférenciers qui ont abordé les thèmes de la biopolitique, l’islam, les coûts de l’immigration…

L’histoire et la philosophie politique n’étaient pas en reste, avec des interventions sur le combat des Cristeros, le Maréchal Pétain, l’envers des révolutions arabes et une conférence remarquable sur la Loi naturelle, expliquée du point de vue philosophique.

Pour éviter aux militants une indigestion de formation, les moniteurs de sport du mouvement agrémentèrent chaque matinée d’activités diverses (course à pied, sports de combat, renforcement musculaire, sports collectifs…).

Après des journées bien remplies, chacun fut heureux de se détendre le soir au cours des veillées et films proposés.

A noter un concert acoustique de nos amis du groupe FTP.
Ces quatre jours furent très denses, et chacun put en retirer des connaissances et des projets pour l’année militante qui débute.

La principale satisfaction de la direction du RF fut l’excellent état d’esprit de ce camp d’été, allié à une grande diversité des participants, tant au niveau de l’âge que du parcours militant ou de la position géographique.
De bon augure quant au développement du mouvement et de ses sections !

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